Bon. Faisant suite à mon unexpected émoi de la semaine dernière au sujet du dernier album de Justin Timberlake, je vais m'enfoncer encore un peu en insistant auprès de vous pour que vous alliez visionner la prestation du petit ricain aux Grammy Awards 2013.
Si, j'insiste.
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6_v7vNicQdu0lgoj_Ju4jdNHLa_o5Ifh1HTg7gPNRZ-i8GqYaQpTSRbblgS6M89vfpLJXNad4Jlqp7VVC2VeshqKxd4XjTEg-J6f7xzX3pVNtf3fUI-4lBUuLCym00qwJYvVSrHzAzNg/s200/161411105_justin_timberlake_jay_z.jpeg)
Ce mini show est - une fois de plus - la démonstration de ce que peut être le professionnalisme chez les américains, et de leur compréhension de ce qu'est l'Entertainment. Je dis "une fois de plus" car presque trop nombreux sont les exemples. En effet, chaque événement sportif est émaillé d'un show-événement qui se doit d'être meilleur que tous les précédents. Vous me direz, c'est l'essence-même de l'événement... Certes, il y a souvent des choses qui peuvent ne pas être du goût de tout le monde, mais la place n'est jamais laissée à l'amateurisme. Et certes encore, et je vous l'accorde, la place n'est malheureusement pas laissée à l'improvisation, à la spontanéité ; mêmes les meilleurs ne peuvent se lâcher, car les timings exigent une prestation cadrées à la seconde près, au millimètre près.