Aujourd'hui, je vais partager avec vous une suite.
Ce sont trois morceaux, en live, du Parrain de la Soul, j'ai nommé le tumultueux James Brown. C'est à l'Apollo Theatre de Harlem que ces trois monstres ont été enregistrés. James Brown a fait d'innombrables shows dans cette emblématique salle, à tel point que des soirées de découverte de nouveaux talents affichaient "James Brown presents..." sans pour autant que la pape y soit présent... d'où son titre - non usurpé - de Parrain. Donc rien à voir avec les parrains que cotoyait un de ses contemporains blancs, rital, habitué des salles de pestak de Vegas, Monsieur Francis Albert Sinatra...
Ce sont trois morceaux, en live, du Parrain de la Soul, j'ai nommé le tumultueux James Brown. C'est à l'Apollo Theatre de Harlem que ces trois monstres ont été enregistrés. James Brown a fait d'innombrables shows dans cette emblématique salle, à tel point que des soirées de découverte de nouveaux talents affichaient "James Brown presents..." sans pour autant que la pape y soit présent... d'où son titre - non usurpé - de Parrain. Donc rien à voir avec les parrains que cotoyait un de ses contemporains blancs, rital, habitué des salles de pestak de Vegas, Monsieur Francis Albert Sinatra...
Mais revenons à la luciole du jour. Il aura fallu attendre 2001 pour que cette version complete sorte, après qu'elle ait été enregistrée en 1967... L'album est "Live at the Apollo Vol. I & II Deluxe Edition". Vingt-deux minutes de saccade, de rythme fou, de cris, de partage avec le public, et de participation active de cette même foule : c'est le résultat de ces trois morceaux qui forment une parfaite trilogie... Un