jeudi 7 février 2013

Quand Johnny - un vrai - prenait sa Guitar.

Nous voici aujourd’hui à 912 milliards d’années lumière du concept de la nouveauté musicale et cela ne nous empêche heureusement pas de toucher au sublime, bien au contraire.
J’aimerais ici rendre hommage à un grand monsieur. Johnny Guitar Watson. Encore un deuxième prénom qui avait été très justement donné à ce bonhomme dont la guitare était non seulement le prolongement de son corps, mais aussi celui de sa voix.
Cet extraordinaire musicien, qui nous quitta en plein concert en 1996, a traversé des genres et des courants en y atteignant à chaque fois les sommets : jazz-blues, blues, soul, R’n’B (pas le arènebi : le Rythm’n’Blues), funk, rock, rap, disco-funk.
Pour votre plaisir, et le mien aussi, écoutez un morceau, qui ne sera pas un de ceux que vous avez déjà entendus (Real Mother For Ya, Ain’t that a Bitch…), ici, avec The Real Deal, extrait de l’album A Real Mother For Ya paru en 1977, vous allez avoir une des substantifiques moelles des genres maîtrisés par ce Monsieur.
Mettez le son fort. Bien fort... Et surtout, ne vous fiez pas au 64 premières secondes qui sont déjà extraordinaires avant véritable un feu d'artifice brûlant. Johnny, sa guitare accompagnée de sa voix et un rythme incroyable vont vous mettre les poils au garde à vous sur les avant-bras, mais aussi sur les cheveux d’ange qui poussent en haut de votre nuque. Ce côté érectile des poils me permet d’affirmer que l’oreille, oui, est une zone érogène.
Afin de parvenir à l'orgasme dans vos transports - amoureux ou non - cette splendeur est dispo ici... je veux dire là, mais pas pour toujours. Si ça n'y est plus, demandez via la Page Facebook du blog (petit logo, là-haut à droite...).
Enjoy,
Peace & B wild, wild et wild encore.


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