jeudi 1 décembre 2011

Emancipation

Avant-Propos :
Lecteur apprécié, lectrice adorée, le titre de ce post ne fait AUCUNE référence au triple album de Prince sorti (plus que paru) en 1996 (Si, si : Prince n'a pas fait QUE des choses absolument essentielles, magiques, extraordinaires et incroyablement excellentes... Diable ! Que je suis impartial !).

Je voulais, au travers de ce titre, souligner - malgré le côté excessivement commercial du morceau et de la bête - que mademoiselle Rihanna Chombier ('faut bien lui trouver un nom de famille, la pôv'...) nous fait un signe flagrant de son émancipation - au moins ponctuelle - du arènebi made in black people. J'en veux pour preuve le morceau qui passe en bouclette-pleine-d'huile-lissante sur les grands réseaux radio de zik de djeun's : We Found Love.
A la première écoute, ne reconnaissant pas qui était derrière le micro, j'ai cru à une production nordique, ou allemande, car quand ces gens se mettent à faire de la dance music, ils n'y vont pas avec le dos de la cuiller, et We Found Love semble rassembler l'ensemble de ce qui peut fabriquer un pur tube de dance made in Europe.
Rien que pour la curiosité auditive, je vous conseille l'écoute de ce morceau qui devient déroutant - donc - une fois que l'on sait que c'est mademoiselle Chombier qui en est l'interprète. Et, je le répète, Chombier est un nom que j'ai emprunté pour Rihanna-la-sans-famille. La pôv'... (Gaga est noble, elle...).
Le reste de son nouvel album, destiné à un tsunami mondial de décibels, reflète pas mal aussi ce "blanchiment" du son, mais il y a quand même toujours, et sur chacun des autres morceaux, une trace d'ADN de Rihanna : le arènebi (donc avec pour père, le bouillon, et pour mère, la soupe).(Je rouvre la parenthèse pour rappeler qu'on ne peut confondre arènebi et R'n'B).


On aimera, on n'aimera pas... Tout sera permis. Toutefois, on ne pourra nier, forcément, une mega prod, appuyée par des moyens colossaux qui seront grassement rémunérés par une promo et une worldwide-tournée des stades et plateaux de TV. Hé !

Pour ma part, même si je ne suis fan de la demoiselle, j'avoue (si, si) apprécier We Found Love, qui atteint bien son but premier : donner envie de faire la teuf. Son autre but est aussi atteint, puisque la ritournelle, une fois entendue, est difficile à virer des neurones... 
Aussi, et là le coeur va parler, j'ai toujours un grand plaisir à entendre Môssieur Jay-Z sur le morceau qui donne son titre à l'album : Talk That Talk. Je crois que j'aime entendre son intelligence et une certaine sincérité qui ressortent de sa voix...

Aussi, et je rejoins un confrère, Drunk on Love  mérite le détour. Ça parle de Maman, de Papa...

Enfin... Tout cet article n'est qu'un avis assez perso qui est maintenant mondialement diffusé au travers du plus grand blog de la Toile, et vous pouvez continuer de le publiciser avec grande ferveur. J'en profite pour faire mes annonces : amis de Sydney, Papeete, et Kuala Lumpur : Bonjour ! Amis de Paris, Londres, Moscou, Redon et Beton-Bazoches : Bonsoir !

Allez, enjoy !
Peace & B wild !

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