mercredi 18 mai 2011

Ma mob : elle est chouette.

Je vais être très honnête avec vous (peut-être vous tutoierai-je un jour, ma douce...) : je me suis arrêté en 2000 sur ma mobylette.
Non... Je reprends :
Je me suis arrêté en 2000 sur la production de Moby. Très certainement parce que j'en avais trop bouffé. Et pour cause : l'album PLAY sorti en 1999 a eu d'une part un succès phénoménal dans les ventes, mais aussi a été (trop ?) Largement relayé au travers des musiques de pub. Nous avons bouffé du moby à la sauce de marques pendant plus d'un an, et l'indigestion, en ce qui me concerne, vient de passer. Ça va, merci.

J'ai donc prêté attention à ce nouvel album (je vous rassure, entre 1999 et 2011, Moby a su rester hyperactif), qui s'intitule "destroyed". Je ne sais pas pourquoi... Quoiqu'il en soit, ce re-plongeon dans la zik de moby me montre que la bonhomme fait - malgré mes a priori, de la bonne musique. Comme tant de DJ's' on me sait plus q'ils sont mixeurs et/ou compositeurs et/ou interpretes. Quoiqu'il en soit, pour ceux qui se souviennent de Play, cet album est un superbe revival.
Je ne ressens pas de composante de zik de pub... Mais peut-être me trompé-je... En fait, le son de Moby est nettement moins universaliste Par les temps qui courent, vous me direz, il est dans la plaque, puisque plus personne n'appartient à des groupes, groupements, regroupements... Nous sommes, chacun chacune - et que nous le voulions ou pas - membres de COMMUNAUTÉS. Ce qui est antinomyque de ce qui ce passe au niveau legislatif, puisqu'il faut, parait-il, combattre le communautarisme...

Bon, j'arrête là mes tergiversations... Cet album de Moby vous replongera, pour les plus anciens, un peu plus de 10 ans en arrière. Et ça fait plaisir !

Enjoy.

Peace & B wild.

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